Les écrits d'Anne-Sophie Guénéguès

Les écrits d'Anne-Sophie Guénéguès

Être(s) : vos avis

 

 

On écrit pour donner à l'autre à lire, lui donner des clefs pour décrypter le monde et soi, on écrit pour être lu, et que cette lecture donne lieu à des échanges, des découvertes, des partages...

 

Aujourd'hui, ce que j'ai lu m'a émue :

 

 

Florence Frappa : J'adore. On rentre trop bien dans vos histoires !

 

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Zachary Philip : Une belle découverte d'une écriture inspirée. On passe du sourire, voire du rire, à l'émotion des situations toujours amenées avec le talent de retenir le lecteur jusqu'à la chute, toujours excellente sur chaque texte. Des tranches de vie décrites avec un humour toujours présent dans des situations où l'on peut penser que l'on pourrait se retrouver. À lire !

 

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Cassandre Bijaoui : J’ai dévoré vos nouvelles, le seul reproche que je peux vous faire : c’est trop peu, on a envie de plus. En fait, ce n’est pas à vous que je reproche cela, c’est au format. En tout cas, si je devais résumer de manière concise, j’ai passé un excellent moment de lecture en « votre » compagnie, mais je suis un peu frustrée.

La nouvelle de Victor à 100 %. Elle est cynique et glaçante, tellement palpable… On sent le désarroi, l’égarement, avec toute sa part d’incohérence. Et je dois dire que j’ai un faible pour les boucles. Donc, le mari qui arrive et qui balance exactement la même phrase… j’ai fermé le livre et j’ai attendu plusieurs minutes avant de reprendre.

Dans le même genre, j'ai beaucoup aimé celle de la femme et du mari qui se parlent et se répondent sans échanger. Très fort.

Pour le chien, je partage totalement cette souffrance. Elle est réaliste, très (trop ?) bien décrite, mais agrémentée de cet humour cynique qui oblige à prendre du recul sur une émotion forte, elle devient supportable. Elle m’a aussi renvoyée à la mort de mon bouvier bernois… Cette nouvelle m’a énormément plu, mais c’est aussi elle qui a mis le plus gros malaise en moi de tout le recueil, je crois.

Et dans un genre plus teen, j’avoue que j’ai aussi trouvé très, très juste celle de la rupture. C’est une idée qu’il fallait avoir : pleurer une relation qu’on n’aimait pas tant que ça, juste pour ce qu’on aurait pu y mettre, peut-être. Brillant.

 

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Sergio Madeira : Je viens de terminer cette nuit ton recueil de nouvelles Étre(s). J'ai beaucoup aimé la forme et le style, textes courts tantôt nostalgiques, humoristes et les personnages drôles, tristes , attachants, bref des êtres vivants.

 

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Anna : Merci d'être venue au salon du livre à Bernay, j'ai pu vous rencontrer et avoir le plaisir de vous lire. Je ne suis pas une grande lectrice, mais grâce à vous, j'ai « dévoré » vos nouvelles dans Être(s). Aussi, je vous remercie pour cette agréable lecture. Les fins sont géniales !

Hâte d'en lire d'autres !

 

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Pascal Deligné : Ma dernière expérience de "nouvelles" avait été décevante. Vous  me réconciliez avec ce genre bien particulier qui demande une forte unité d'"être ", justement. Et vous l'avez ! J'ai beaucoup aimé le style et la façon dont votre présence transparaît dans le fil des récits et laisse bien, juste ce qu'il faut, percevoir le vôtre  (d'Être).  Ma nouvelle préférée est peut-être  "Le quatrième mur"... et puis pratiquement toutes et plein de choses dans votre écriture. Plein de choses sensibles, un tempo d'instants et de figures qui induisent votre ton et font que l'on se retrouve à chaque nouvelle. Je vais le relire prochainement.

 

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Gérard Coppens : Je viens de terminer "Être(s)" et, je dois l'avouer, je suis... très déçu.

Déçu... de ne pouvoir écrire aussi bien et de ne pas maîtriser de la même manière cet art ingénieux qu'est l'écriture. Tant pis ! Les yeux désormais ouverts, il ne me reste plus maintenant qu'à en prendre mon parti. Mon épouse et moi avons vraiment passé un agréable moment à lire ces nouvelles pleines d'humour, parfois très caustiques, ce qui ne fait que rajouter de l'intérêt à leur lecture !
 
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Patrick Magne : Bravo à toi pour ton écriture, très enlevée, qui nous plonge très vite dans l'action de ton récit, qui à chaque ligne nous rappelle des moments vécus, graves ou légers. J'y ai aussi retrouvé une ambiance très particulière, celle des romans de Françoise Sagan. 

 

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Patrice Gazier : J'ai savouré les cinq premières nouvelle puis ma lecture s'est un peu brouillée, embuée à "Mémento", c'est mon premier coup de cœur.  Pour diverses raisons, elle résonne en moi. L'indécision, voire parfois la lâcheté  des hommes devant les prises de décisions, tu y reviens un "gros" peu avec  "le mot de la fin" également savouré. Mais ce qui résonne le plus, c'est "Mémento" donc et la "chute" de cette chute en bord de falaise que je relis encore  (frissons quand je l'écris). "À voix haute" résonne aussi, mais un peu trop fort, j'ai pleuré : elle touche et, comme beaucoup d'autres, elle est un miroir implacable pour le lecteur... Belle dernière nouvelle, la noirceur ne peut pas être totale !

Le verdict est implacable, tu as du talent, tu es capable de transmettre une émotion, de mettre en ébullition les cerveaux qui en ressortent enrichis. Miroir, beau miroir. J’ai plus parlé de moi dans mon analyse que de tes textes, de leur beauté, de leur espièglerie, de leurs constructions parfaites. Ton livre, en dehors de son écriture, de ses inventions dans l’enchaînement des mots, est un donc un miroir impitoyable… ou formidable ?

 

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Dorothée Leurent : Il y a un côté "Audrey Hepburn" dans ton livre, élégant, intéressant, sautillant, accaparant. J'ai adoré parce que c'est tout à fait toi ! Une sorte d'écume et sous l'écume, toute la profondeur de l'océan... Globalement, j’aime tout, ce balancement entre écriture légère et sens profond, l’humour sur la peine - parce que je suis aussi comme ça - et et les histoires bien sûr ! Mais les plus fortes, juste pour moi, sont la maison qui se découvre même si la fin dans le puits est dure, et surtout "À voix haute", que je trouve formidable de composition…. Mais tout est génial !!

 

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Philippe Delerm : L’écriture. Je vois avec plaisir qu’elle continue à être au centre de ta vie professionnelle et créatrice. J’ai bien aimé tes nouvelles, le sens de la vie qu’elles recèlent, et leur composition, comme celle d’Un article pervers, avec l’enlacement du texte journalistique et de l’implication personnelle, ou la métaphore très travaillée de Au grand jour, avec la chute “ce n’était qu’une façade”.

Mais, on ne se refait pas, ce que j’aime le plus, ce sont des petites notations très subtiles comme celle-ci : “il se réappropriait le geste en même temps que l’instant”, et, plus encore, “Il y avait quelque chose, dans les yeux surtout, qui me disait que face à moi, sur la paroi de verre, ce n’était pas tout à fait la même personne que derrière.”

Et puis, ton écrit caustique : “Deux mamans font semblant de s’intéresser à autre chose que leur propre progéniture.”

Bravo donc pour ces Être(s) et longue vie à tes mots.

 

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Rodolphe Massé : Votre écriture est assez adamantine. J’imagine l’esprit qui la sous-tend comme une citadelle très claire, où le moindre petit chaos se trouve bien vite harmonisé. Il y a dans votre regard sur le chaos de l’être quelque chose de très libre et bienveillant. Je savais que ne pourrais plus me passer de vous en tant que correctrice. Maintenant, je pense qu’en tant qu’autrice non plus. Être(s) est un beau prolongement du vôtre, en tout cas. J'en ai apprécié chaque page, et j'ai bien envie d'y revenir. Un livre de chevet.

 

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Christine Lamoureux : J’aime beaucoup vos nouvelles, le ton, l’ironie, la sensibilité, le style. C’est tout un art !

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Paul Rétif : J’ai lu ton livre, il m’a accompagné dans mes promenades matinales, durant ces heures où je me demande si j’existe vraiment. J’ai ri, j’ai pleuré et, par-dessus tout, découvert l’intelligence poétique de ta prose. Et puis, c’était un peu une revanche : voilà plusieurs manuscrits où je me dévoile à ta sagacité ; cette fois, c’était ton tour, et c’était délicieux.

 

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Fabrice : Tu n'as pas commencé par la nouvelle la plus facile. Tu n' accompagnes pas  le lecteur en lui donnant la main. Une grande partie du chemin est à faire par soi-même, et c'est tant mieux.  Il faut  imaginer le contexte, des visages ou des lieux, mais on peut s'inspirer librement de tes indications. Ceci implique une forme d'interactivité qui pourrait rebuter le lecteur fainéant, car il faut parfois relire des passages ou rechercher des détails qui nous auraient échappé. Dans "C'était annoncé sur TF1", tes pensées sont vraiment très masculines et pourraient être les miennes, dans une balade au milieu d'une brocante. Déambulation, hésitations, impressions, émotions vives ou distractions... Je fais tout de la même façon que le personnage.  Ce récit me fait penser à un travelling de film caméra à l'épaule.
Les excellents dialogues de "Je suis ton père" sont tellement authentiques, véridiques, que je me vois dans les salles de spectacles de danse avec mon ex-femme pour voir ma fille.
Dans "Le vieux comédien', tu parles avec les yeux d'un vieil homme qui peut se permettre un regard désabusé sur la comédie humaine.
"Au grand jour" est le récit le plus sensuel pour moi. Je suis sensible à la métaphore du débroussaillage de la maison et à l'effeuillage de la compagne du personnage masculin. Nous sommes nombreux à ressentir une âme dans ces vieilles pierres, souvent quelque chose de féminin. À la fin j'ai pensé à La Chute de la maison Usher de E.A.Poe, et le basculement final est pour moi écrit typiquement à la manière de Lovecraft.
"A voix haute" est un très beau récit amoureux pour moi, qui m'évoque aussi la tristesse, le manque de repères quand on doit continuer seul alors qu' on a été un homme très amoureux de sa compagne.

Tu ne manques pas d'humour noir : "Le mec me regarde soudain comme si je venais de lui avouer avoir sodomisé sa mère défunte." Cette phrase dans "Au grand jour" m'a fait hurler de rire.
Je considère que la nouvelle la plus aboutie est "Quoi encore!". L'écriture est parfaite, un vrai petit bijou, un chef-d'œuvre sur l 'ironie du sort, et, justement ce n'est pas ma nouvelle préférée, car cette histoire est inéluctable. L'imaginaire ici ne fait qu'accroître l'horreur, l'onirisme plutôt absent ne vient pas nous secourir. Je n'aime pas me faire mal, aussi je préfère de loin ton excellente nouvelle finale "Trois ou quatre mariages et un enterrement ou deux". Dans cette dernière, je fais moins attention au style, je pénètre l'histoire avec bonheur, car à l'inverse, elle nous dit avec subtilité que rien n'est inéluctable, que tout peut encore évoluer.

C'est l'avantage de ton livre, chaque nouvelle peut nous révéler un point de vue (souvent tranchant) sur la vie. Pour le ton, je dirais étonnamment sombre, peu de couleurs, un monde presque en noir et blanc, ironique, à la limite du cynisme... mais cela ne manque pas de drôlerie et en creux, cela parle, d'une certaine façon, d'amour pour les êtres qui t'entourent.

 

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Patrice : J'ai lu votre bouquin et n'en suis pas ressorti indemne, mais j'ai beaucoup aimé.

 

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Véronique : J'ai beaucoup apprécié de lire ces nouvelles toutes différentes les unes des autres qui nous plongent dans des émotions du rire aux larmes, la plume de Anne-Sophie Guénéguès est très agréable et fluide. C'est avec plaisir que je recommande ce livre.

 

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Laurence : Être(s) est un excellent recueil de nouvelles d'Anne-Sophie Guénéguès. Sa plume fait mouche chaque fois, car à ma grande surprise j'ai apprécié les 16 textes à qualité égale. Ce qui est assez rare pour le souligner ! En général, je suis déçue par un ou deux textes, mais pas ici.

Ce recueil débute avec "C'était annoncé sur TF1". J'ai beaucoup aimé ce premier texte avec la découverte d'un homme comme vous et moi, qui est, était et sera... Ce premier texte m'a touchée.
"Le bon moment" nous raconte un moment au bord de mer.. Court texte, mais percutant.
"Si on ne mange pas de pain, un jour il n'y en aura plus" ; là encore, un texte bien écrit qui fait mouche avec une femme comme tant d'autres. Et pourtant, je sais que je penserai de temps en temps à Madeleine.
"Le quatrième mur" m'a beaucoup plu. C'est un texte que j'ai adoré. Le ton est assez cynique, comme l'est le personnage principal. Et c'est une réussite.
"Luc, je suis ton père" raconte l'histoire d'un père qui va voir son fils comédien au théâtre. Là encore, c'est pertinent et la chute est excellente.

 

Je n'en dirai pas plus, voici les cinq premiers textes mais il serait dommage de chroniquer toutes les nouvelles ; cela enlèverait la surprise de la découverte pour les personnes intéressées par ce recueil.

 

La dernière nouvelle qui s'intitule "Trois ou quatre mariages et un enterrement ou deux". Une petite fille nous présente Papi Méchant. C'est savoureux, caustique et là encore j'ai adoré.

Si vous aimez lire des nouvelles, plus ou moins longues (parfois un peu trop courtes même, car je serais bien restée plus longtemps avec certains personnages), je vous invite vraiment à découvrir cet ouvrage. Ma note : cinq étoiles.

 

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Inconnu : Le style d'écriture est moderne et fluide. le recueil se lit rapidement. Les nouvelles sont variées. On passe aisément du comique au tragique. Les expériences de vie des personnages sont très réalistes. On peut aisément s'identifier dans plusieurs histoires. Bref, lecture sympathique, je recommande !

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Ariane : Je suis tombée absolument sous le charme !

Vous avez vraiment un univers très original, très personnel, une capacité à vous installer dans le cerveau de votre personnage remarquable, ainsi qu'une finesse dans la perception et la retranscription des êtres humains qui transforment ces fragments de vie en véritable témoignage (qui passionnerait lecteurs, sociologues, historiens dans 50 ou 100 ans).

Et votre style ! Votre façon de jouer avec les mots, tout en légèreté, ainsi que l'humour très présent... La construction très originale et habile... Vous pouvez m'inscrire dans votre fan-club !

Épatée par la diversité des sujets abordés tout en conservant ce thème principal, diversité des personnages, des milieux sociaux, etc. Et le fait que votre écriture soit adaptée à chaque nouvelle! Je n'en ai pas lu deux écrites avec le même style, chaque fois vous trouvez celui qui sera le plus percutant. Mais bien sûr, on retrouve votre patte : la justesse (de l'analyse mais aussi des mots), votre façon de jouer avec la langue et... l'humour !!! Il est toujours présent et je n'y résiste pas !

 

J'ai adoré, dans "Le bon moment", cette manière de décrire la perception totalement différente que l'on peut avoir d'un même moment de vie selon son état psy. Vous avez réussi à rendre ça à la perfection. Et la fin est très jolie.
Très touchante, Madeleine qui n'existe plus lorsqu'elle cesse de travailler. Très juste, le fait que souvent, on ne reconnaît plus une personne lorsqu'on la voit "hors du contexte habituel". Et cette sensation d'inutilité... Là encore, quelle finesse pour raconter des sentiments aussi complexes de façon aussi "évidente" !
"Le quatrième mur" : tordant ! Vous avez vraiment trouvé la structure la plus drôle.
"Luc, je suis ton père" : un petit bijou. J'adore la mauvaise foi du père... la chute est extra! (Et quelle maîtrise de la progression de l'intrigue!)
"Mémento" : larmes aux yeux. Je me suis forcément demandé comment vous aviez eu une idée pareille.
"Le mot de la fin" : à la fois touchant et drôle !
"Au grand jour" : extrêmement poétique (et juste, une fois de plus - mais c'est tout le temps le cas). La chute poignante. Très originale!
Pliée en deux en lisant "À voix haute"!!!

(à suivre)

 

 

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Patrick : L’auteure possède un art magnifique de dire des choses fortes simplement, sans chichis, avec douceur et conviction. Elle n’hésite pas à employer l’humour discret sur des événements graves, ce qui n’est jamais évident. La séduction est totale.

L'intégralité de la chronique est à lire sur  le blog de Cultures Co !

 

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Aurélie : J'ai adoré ! J'ai beaucoup aimé le style d'écriture et l'approche des différents récits.
Il s’agit selon moi d’un livre miroir des sentiments humains dans leur moment banal de la vie et pourtant tellement marquant. J’ai trouvé ces récits à la fois touchants, émouvants, énervants, tristes, reflétant les diverses émotions humaines où les êtres en sont au cœur.
La façon d’écrire est à la fois légère et profonde, c’est surprenant et très intéressant. Cet aspect le rend très agréable à lire et les récits/nouvelles s’enchaînent (il est dur de s’arrêter ).
Malgré le fait que ces récits soient très différents, j’ai trouvé une approche commune dans la manière de les aborder donnant une belle résonance entre eux. Chaque fin de récit est très abrupte voire brutale mélangeant ainsi en quelques secondes le sourire puis le choc/l’effroi/la tristesse, rendant le tout très authentique et vivant ! Je trouve que cet aspect rajoute à l’intérêt de lire ces nouvelles.

L'article complet est à lire sur le blog Les Bons Plans d’Auré.

 

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Delphine : J'ai lu Être(s) avec un grand plaisir ; il y a beaucoup de fines délicatesses dans ces nouvelles. Quelle plume fine, intelligente. Ton écriture est d'une finesse !!! Mon impression générale  est la douceur amère. Un kaléidoscope d'histoires dans lesquelles une fracture plus ou moins abyssale glace ces douces vies. J'avoue que je n'ai pas de réelle préférence ; j'aime beaucoup ce côté "patchwork". Le " doux amer " constitue l'unité  de ce livre. Des drames de la vie de madame, mademoiselle ou monsieur tout le monde... Malheureusement,  ce n'est  pas ce qui manque : il faut au moins de la douceur, de la délicatesse, de la finesse et de l'humour pour entourer tout cela. Tu l'as magnifiquement décrit !!!

 

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Jacqueline : "Être(s)" est vrai et je l'ai beaucoup aimé par ses portraits simples et émouvants.

 

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Aurélie : J'ai beaucoup aimé Être(s). Tout ce petit monde était avec moi. J'ai pas osé stabiloter mes tournures favorites, et plein de petits détails d'écriture, de soin, d'esprit fin, qui m'ont régalée !  J'ai lu à haute voix la dernière nouvelle à Garance, elle a dit "C'est super!".

 

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Isabelle : Trop court, il faut que tu en écrives un autre !!! J'ai adoré la boulangère, la foire à tout, Papi méchant, la maison pleine de lierre, j'ai ri avec le départ en vacances, bref, on sent le vécu, l'amour des gens, l'observation, l'écoute... Félicitations.

 

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Louise : J'ai été happée par ton livre, lu d'une traite, trop vite, trop bon, j'ai adoré ce temps passé avec toi... Mais trop court, alors vivement le prochain !

 

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François & Françoise : Voilà quelques semaines que nous avons acheté ton livre. Et nous avons vraiment beaucoup aimé. Un réel plaisir de lecture. Tout sonne vrai dans ces différentes tranches de vie que tu racontes si bien.

Je me joins à Françoise pour te dire que nous avons effectivement bien aimé ta dernière œuvre. J'ai aimé le style, le juste choix des mots et toutes les nouvelles sont agréables à lire même si, finalement, je me demande si tout ça n'est pas un peu pessimiste.

 

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Aurélie : J'ai adoré ! J'ai beaucoup aimé le style d'écriture et l'approche des différents récits.

 

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Patrice : J'ai enfin terminé la lecture de toutes les nouvelles. Les dernières m'ont particulièrement plu. Dans l'ensemble j'ai véritablement apprécié votre sens de la formule qui s'enchaîne à un rythme presque constant. Votre capacité à parler des relations humaines, des aléas de la vie aussi simples qu'importants, en sachant d'ailleurs faire du petit le grand et inversement, est remarquable. C'est bien le propre de notre condition que vous arrivez à faire jaillir en quelques phrases ou tournures, ceci malgré l'exercice de la nouvelle qui doit en dire beaucoup en peu de temps. J'ai beaucoup aimé “Luc, je suis ton père” (vous narrez très bien les personnages masculins, c'est rare !), “Le vieux comédien” (une tristesse m'a envahie), “Un article pervers” (j'ai pensé à des scènes de la vie conjugale...), “Ça va mieux en le disant” (du dialogue de cinéma !), “Quoi, encore ?” (pour l'intime de la mère) et “Trois ou quatre mariages et un enterrement ou deux” (cette figure du grand-père que j'ai peu connu est très belle). Je vous félicite pour votre prose et pour vos histoires profondément humaines !!

 

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Élise : Une bougie de plus pour un Être qui manie si bien sa plume et décrypte avec tant de justesse tous ces Êtres à côté d'elle. Chaque nouvelle m'a rappelé un bout de vie, un souvenir, une émotion. J'ai fait durer le plaisir au maximum, en ne lisant qu'une bribe d'Être(s) chaque soir (deux parfois, j'avoue) et puis à l'avant-dernière, j'ai pleuré, éteint la lumière sur ce chagrin, sur cette angoisse de toute maman...
Merci de tout mon être(s) pour ce petit moment partagé avec toi chaque soirée de septembre.

 

 

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Patrice : La lecture de vos nouvelles me donne beaucoup de plaisir tout autant que de frustration dirais-je, puisque le format en lui même tend à cela et que, votre talent d'écriture susceptible de dépeindre en une phrase, avec tant de détail et d'intérêt, une histoire... donne que chaque fois que j'en termine une, je me dis que j'en voudrais bien plus !

 

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Estelle : À travers tous ces Êtres, j ai retrouvé un Être familier à notre enfance. Merci pour ces histoires si touchantes, si proches de soi pour certaines. Tu peux Être fière de ton écriture, de ce livre qui m’a fait rire et émue aussi... sensible que je suis...

 

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Yves : Il y en a une que j'ai beaucoup appréciée car j'ai eu l'impression d'être le personnage qui fait le tour de la brocante. Bravo pour la qualité de l'écriture.

 

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Martine : J'ai lu avec grand plaisir ce recueil de nouvelles.

 

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Michèle : Moi qui ne suis pas fan de nouvelles, j'avais chaque fois hâte de lire la suivante !

 

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Bernard : J'ai beaucoup apprécié Ëtres(s). Une écriture fluide et subtile, de l'originalité mais aussi une vision pessimiste de l'existence, peut-être comme dans certaines "vraies vies", ici pas de happy end !

 

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Marie-Aude : J’ai commencé ton livre et je suis très admirative de ton écriture comme de ta créativité, ton inventivité de romancière. J’ai adoré la nouvelle de Madeleine, l'ancienne vendeuse en boulangerie : très sensible, très juste... Pour le reste, affaire à suivre, je prends en tout cas un vrai plaisir à cette lecture !

 

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William : Très touché par « Mémento » et par « Le mot de la fin ».

 

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Jean-Claude : J'ai lu et j'ai aimé, tellement aimé !

 

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Axel : C'est super fort de parvenir à rendre crédible des choses que tu n'as pas expérimentées toi-même. C'est super bien écrit, j'ai toutes les images en tête quand je te lis, et tes mots me restent en tête longtemps après lecture, je continue d'y réfléchir...

 

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Nicole : J'ai lu et j'ai a-do-ré.

 

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Patricia : Beaux portraits à la Eric-Emmanuel Schmidt !

 

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Fabienne : J’ai aimé, tellement aimé, toutes ces nouvelles... ce livre nous fait rencontrer des Êtres qui ont été, qui sont, et qui seront. Quelle frustration de ne pas en savoir plus sur ces tranches de vie. À quand une suite ? J’ai été comme hypnotisée par ces tranches de vie ! Pourquoi nous sentons-nous proches de tel ou tel personnage ? J’aimerais en lire encore et encore, que ça ne s’arrête jamais...

 

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Éloïse : Je n'ai pas été déçue une seconde de retrouver ta voix, pas exactement comme ce que j'avais déjà lu évidemment, mais toutefois une langue bien reconnaissable. Et, bien entendu, cette attention incroyable aux détails, aux justes détails, ce sont les détails qui rendent tout crédible, qui transforment l'essai, qui font la chair d'un texte. 

Je trouve, comme beaucoup de gens,  particulièrement difficile d'écrire des nouvelles : en si peu de temps, aborder tes lecteurs et ne pas les lâcher, sans pour autant qu'ils se sentent piégés, qu'ils n'aient plus leur espace de liberté dans le texte. Tout en ne leur donnant pas toutes les clefs, en laissant des choses en suspens, en provoquant des surprises, des tensions, des inquiétudes quant au sort que tu réserves à tout ton petit monde. Bref. Je voulais t'applaudir des deux mains.

 

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Samuel : J'ai beaucoup aimé « Le quatrième mur » et « L'été passé ».

 

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William : Je lis petit à petit tes nouvelles. Très sincèrement, j’aime beaucoup. C’est un mélange étonnant de compassion et de cruauté (je dis cruauté, peut-être devrais-je dire juste : observation fine de ce que nous sommes). Ce que j’aime aussi, c’est ce que je qualifierais de « l’air de rien ». Tout semble anecdotique alors que c’est tout le contraire.
Beaucoup de tristesse, de noirceur parfois, mais il y a toujours de l’humour, une façon de finalement rire de tout (sans doute pour ne pas hurler).
C’est étonnant également cette façon qu’a l’auteure (toi donc) d’être à la fois très distante et en même très présente. On dirait des reportages littéraires…

 

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Lucie : J'ai dévoré votre livre en trois jours, ce qui est pour moi signe que je ne l'ai pas lâché. « Le quatrième mur » m'a fait beaucoup rire, surtout après nos conversations sur les prénoms pourris !

 

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Pierre : Quelle émotion de lecteur j'ai ressentie à la fin de « À voix haute » !

 

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Hélène : J'adore l'écriture, ça va vite, ça matche bien, parfois il y a du "elle/il" parfois du "je", c'est une vraie nouvelle atmosphère à chaque fois. Certaines fins m'ont vraiment procuré de l'émotion, un rire ou une nostalgie, y a toujours eu une émotion, et ça, c'est rare, je trouve! Ça paraît tellement réel, tu sais te mettre dans toutes les peaux ! Il y a des nouvelles où je me suis dit « mais c'est tellement ça !» à TOUTES les lignes quasiment ! Il y a beaucoup d'humour aussi, et des chutes, enfin y a une fin, quoi. En fait, même avec deux pages, on a un début et une fin, c'est top ! Dans « À voix haute », je ne l'ai pas vue venir, la fin, ça fait partie de celles qui m'ont rendue toute chose rien qu'avec les dernières lignes. J'ai été obligée de relire les deux dernières pages. Dans « Le bon moment » non plus, quelle surprise ! J'ai beaucoup rigolé avec « Le quatrième mur », c'était hyper rythmé, et on était vraiment dans la tête du gars. Et j'ai beaucoup aimé la fin, j'avoue que ça m'a mis de bonne humeur pour le dodo. « Si on ne mange pas de pain » m'a émue et « Luc, je suis ton père » m'a fait sourire. J'ai trouvé l'histoire de « Un article pervers »  très réaliste ! La dernière ligne de « Quoi, encore ? » m'a complètement scotchée ; si j'avais eu un enfant, je serais allée lui faire un câlin, même s'il était 23h30 ! « Le temps qu'il est », c'est tellement ça ! C'est fou parce que, en soit, le texte, il ne « raconte rien », ce n'est qu'un bout de vie qu'on vit tous, entre guillemets. Donc, on pourrait se dire que cette nouvelle n'a pas un intérêt fou. Mais c'est tout l'inverse !!  J'avais envie de la faire lire à mon conjoint pour lui dire « Tu vois ! Tu vois ma vie ! Tu comprends que je sois stressée !! » Ça met des mots et une prise de recul de dingue sur une situation de tous les jours. Ce livre permet de prendre du recul sur beaucoup de choses en fait. Y a tellement de passages que j'ai aimés dans chaque nouvelle. Dans « Au grand jour », la scène du dialogue avec le voisin : la différence de ton dans l'écriture et de langage est dingue, on a l'impression de boire un canon à côté d'eux !  Et puis, y a plein de détails qu'on fait tous. Le fameux pain trempé dans la sauce du concombre, qu'on retrempe jusqu'à ce qu'il soit tout mou !! C'est tellement ça, tout le monde va s'y retrouver ! Quand tu te couches en ayant lu ça, tu es reposée, en fait. Là, tu arrêtes avec une fin, heureuse ou pas, et c'est reposant en se couchant je trouve !

 

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Marie-Odile et Sophie : On a aimé. Des histoires d'êtres qui sont, que nous sommes, qu'elle est... une plume élégante, humoristique, croustillante et bien écrite. Ces nouvelles riches en émotion, tes yeux photographes, ta main un peintre, Anne-Sophie, on t'aime encore plus.

Tu es être un être qui aime les êtres, et l'être des êtres.
Lisez vite Être(s), curiosité, imagination, sourires et questionnements sont... un régal !

 

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Hélène : Une pépite littéraire vient de sortir ! Un recueil de 16 textes courts commandé sur Internet, reçu rapidement : j'ai plongé dans ces histoires touchantes de vous, de moi, de ceux et de celles. Des petits morceaux de vie, où l'on se retrouve soi ou d'autres. Des moments précieux, des moments de tous les jours, avec un brin de nostalgie parfois, de curiosité, et un humour toujours bien pensé et bien placé. Je suis conquise et je ne l'ai pas encore terminé !

 

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Hélène : J'ai lu la première nouvelle, j'adore l'écriture ! Et en tant qu'adepte des vide-greniers, je peux dire que c'est tout à fait ça !

 

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Hacène : J'aime bien ton style et ta façon de faire avancer tes idées, ton écriture a une belle sonorité, elle est singulière.

 

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Chrystianne : Je te vois bien dans ce livre, les observations précises des personnages sont bien de toi. Intéressant aussi que la majorité des personnages soient masculins, et souvent à la première personne (j'ai bien compris ta volonté de t'éloigner des personnages). J'aime beaucoup. Cela fait longtemps que je n'ai pas pris du temps pour lire, et je suis contente d'être tombée sur ton livre ; c'est une belle découverte. Tout est très bien écrit, mais cela, tu le sais déjà ! Mon moment avec ces pages était comme un moment avec toi : plein de découvertes. J'ai appris des nouveaux mots, des nouvelles expressions et des nouvelles manières de voir le monde. Il y a eu aussi des moments de joie et de surprise, encore une fois, comme quand je te parle.

 

 

Pour lire Être(s) puis m'en dire des nouvelles, vous pouvez le commander où vous voulez ou ici !

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25/02/2021
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